Séparations royales

Soulagement général. Annonce il y a quelques jours déjà de la tant attendue séparation d'un prince quelconque britannique. Pour les royalistes, monarchistes et lecteurs intensifs de Gala, il est au 3ème rang dans l'ordre de succession à la couronne britannique. Je lisais toujours ses aventures chez le dentiste ou le coiffeur. Mais attention, pas chez le kurde au coin de la rue, celui à côté du stand de kebap. A 10.- la coupe, il n'y a plus de budget pour les potins. Sa vie donc consiste selon ces journaux de référence en des virées nocturnes dans les clubs branchés londoniens, avec chauffeur et champagne à volonté pendant que le petit peuple dort, avant de reprendre le travail pour payer les virées nocturnes du petit prince. C'est beau. Toujours d'après ces magazines de qualité, des soit-disantes sources bien informées affirmaient que le beau prince était proche du mariage avec sa blonde.
Heureusement pour lui (et pour nous aussi), la belle lui a mit un vent royale. Ah, enfin, on va arrêter de nous gonfler avec ses pseudo histoires de conte de fée. Qu'il aille inhiber une fois. Dans la foulée, on a annoncé ce week-end une autre séparation princière, en Espagne cette fois-ci. Il ne manque plus que l'éternel eunuque du rocher monégasque et le compte sera bon. Aux dernières nouvelles, il serait en train de préparer une séparation, euh zut, non, un mariage...